Christine MACHUREAU

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D'or, de sang et de soie La femme d'un Dieu Le roi d'angoisse Les vierges de Mazamet        

 

D'or, de sang et de soie           TOP

Un nom sème encore l’effroi quinze siècles plus tard... Attila.

Venu des confins de l’Asie, il n’était pas le sauvage qu’on imagine. 

Un pillard, un formidable pillard, qui va voir son aura pâlir sur les Champs Catalauniques. 

Lui-même ne croit plus en son étoile lorsqu’il fuit devant Rome, alors que l’objet de son ambition est à portée de main. 

Il ravage tout le nord de l’Italie et rentre en son ordou, en Pannonie.

Ce sera sa dernière soirée de gloire parmi son peuple, sa dernière nuit d’amour qui aboutira à une mort étrange. 

Et à son enterrement grandiose et secret.

Que vont devenir ses fidèles et sa multiple descendance ? 

Que va devenir la princesse Khazar qui a partagé sa couche lors de cette nuit tragique ?

Jeune et aventurière, elle va créer la surprise. 

Il lui faudra une main de fer pour mener, dans la steppe déserte, une horde qu’elle construit patiemment, à l’écart, dans les plaines du nord de l’Europe. 

Alors, grossie de milliers d’âmes, elle déferlera sur le sud, vers la Khazarie.

Dans ce monde en gestation, où le nomade brandit encore le fer et le feu, quel est l’objectif de cette femme, Orca, Khanoun de l’Orkastan, écartelée entre raffinement et sauvagerie ? 

Vers quel destin enverra-t-elle sa fille Gegheen Tsets et son fils Svarog ?

De la Hongrie, dans le centre de l’Europe, aux confins de l’Inde et de la Chine, le quotidien de trois générations d’hommes, de femmes de pouvoir, balayé par la haine, l’amour, la trahison, l’ambition.

 

La femme d'un Dieu           TOP

Prostituée, pécheresse, pénitente, que n’a-t-on dit de la femme qui, plus que les Apôtres, est citée dans les Évangiles.

Mariam de Magdala, bête noire de l’Église romaine, a mis deux mille ans pour rejaillir en pleine lumière, pour éclabousser le monde de son chatoiement féminin.

La trentaine passée, elle avait tout vécu : un amour fulgurant, une exaltation spirituelle, l’offense et le mépris des hommes. 

Elle avait secouru le prophète de tous les temps, à la barbe des légionnaires romains. 

Parcourant à pied ou à dos de mule la Judée en tous sens pour écouter l’ineffable. 

Yeshoua disparu, il ne lui restait comme les autres qu’une mission à remplir : disperser le message à la surface de la Terre.

En vérité, qu’a-t-elle fait, qu’a-t-elle dit ?

Ceci est un roman qui vous mènera d’Égypte en Gaule, d’Isis à Cernunos, sous la domination romaine. 

Ce n’est pas une pâle copie des Évangiles, c’est une vision novatrice qui défie l’Histoire. 

Il est des fictions qui narguent les mensonges.

 

Le roi d'angoisse           TOP

Entre Charles VII et le dauphin Louis, c’est la guerre. 

Une guerre larvée, rampante, alimentée par une haine sans nom. 

Entourés de centaines d’espions, ils se promettent toujours une affection traîtresse, hypocrite. 

Tous les coups sont permis.

Dans cette cuve ardente où l’on brûle sur un claquement de doigts, Thomas, le barbier-chirurgien, s’est fourvoyé. 

Le pouvoir absolu piétinera-t-il sa famille ? 

La sorcellerie va-t-elle les détruire ou les aider ? 

C’est Gertrude, sa femme, qui prendra ce chemin à destination des enfers.

Thomas et Gertrude, tombés par hasard dans cette soupe méphistophélique, pourront-ils sauver leurs enfants, leurs biens, leur réputation, leur vie ? 

Ou se perdront-ils corps et biens, balayés par des nécessités qui les dépassent, effacés par le vent de l’Histoire ?

À travers le destin de ce couple dont on partage le quotidien, l’auteur nous initie à l’aspect intime de cette hostilité qui dura vingt-cinq ans entre Charles VII et son fils Louis, futur Louis XI. 

Elle y ajoute les prémices d’une sorcellerie qui a toujours eu droit de cité chez les grands de ce monde, aux recueils peu usités, mais totalement pérennes.

 

Les vierges de Mazamet           TOP

Les habitants de Mazamet sont aux abois. 

Des fillettes disparaissent à intervalle régulier sans que personne n’y puisse rien. 

Pas de cadavres, pas d’indices, pas de témoins.

Le Roi est mort, vive l’Empereur !

Dans cette époque interlope qui nous mènera jusqu’à la Restauration, la police est une police politique d’abord. 

Il est un homme, Phœbus Vernet, qui se penche sur la société et louvoie entre Fouché et Talleyrand.

À l’occasion d’un retour dans sa ville natale, il comprend que la population est laissée à l’abandon.

Face à la masse des brigands, des « chauffeurs », des déserteurs et des réfractaires qui ne trouvent d’autre ressource que de rançonner les paysans de la plus atroce façon.

Nommé Commissaire du Consulat, puis Commissaire Général, il décide d’arrêter cette hémorragie d’enlèvements.

Où sont les jeunes filles ? 

Pourquoi et qui ? 

Sans cadavre et sans demande de rançon, l’enquête ne progresse pas.

Phœbus s’apercevra que ces atrocités le concernent de près.