NAHAPETIAN Nairi

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Dernier refrain à Ispahan L’amour selon Marina M. Qui a tué l'ayatollah Kanuni ?          

 

Dernier refrain à Ispahan           TOP

Interdit de montrer ses cheveux. 

Interdit de s’habiller sans respecter l’uniforme islamique. 

Et interdit de chanter en public. 

Les ayatollahs ne manquent pas d’idées quand il s’agit d’entraver la liberté des femmes. 

Pourtant, lorsque la grande chanteuse Roxana revient dans la ville de son enfance, après un long exil aux États-Unis, certains de ses airs résonnent encore dans les taxis d’Ispahan. 

Son projet ? 

Donner un concert dans lequel se produiront d’autres femmes. 

Un projet qui ne verra jamais le jour car Roxana sera définitivement réduite au silence. 

Et elle ne sera pas la seule à subir ce sort.

C’est justement à ce moment-là que Narek, un jeune journaliste franco-iranien venu prendre le pouls de la révolte de 2009, rejoint la ville. 

Cette enquête lui permettra encore une fois de découvrir une facette insoupçonnée de la réalité iranienne.

 

L’amour selon Marina M.           TOP

Marina, peintre et photographe, tente de faire sa place dans le milieu de l’art et de la bande-dessinée. 

Mais elle est constamment freinée dans ses démarches par des événements étranges.

Dont elle sent qu’ils sont liés au mystère qui entoure les circonstances de son arrivée en France à l’âge de huit ans. 

Le jour où elle rencontre Boris, son existence prend imperceptiblement le chemin de l’illégalité.

C’est alors que font leur apparition des lettres venues d’un pays inconnu, le Perdistan.

Et qu’elle trouve une partie des réponses qu’elle cherche.

 

Qui a tué l'ayatollah Kanuni ?           TOP

L'ayatollah Kanuni ? 

Un juge tout puissant qui conduit depuis vingt-cinq ans la répression des opposants en Iran. 

Tous souhaitent sa mort : moudjahedin du peuple, anciens Fedayin et autres adversaires du régime. 

Mais le jour où celle-ci survient mieux vaut ne pas se trouver sur les lieux du crime. 

C'est pourtant ce qui arrive à Narek Djamshid, de retour dans son pays natal quelques semaines avant les élections présidentielles de 2005. 

Pris malgré lui dans cette affaire entre une féministe islamique et un opposant laïque membre de la jet set, il a l'impression de passer à côté des raisons du meurtre et de cette société hermétique. 

Et ce n'est pas sa grand-mère arménienne, occupée par ses petits plats et ses feuilletons télévisés, qui peut l'aider à comprendre. 

Pas plus que les compagnons de lutte de ses parents, étrangement évasifs sur le passé...